Envoyer une lettre à son patron ou à une administration demande d’utiliser un certain vocabulaire ainsi que des formules de politesse.
En fonction de la personne à qui vous parlez, ces formules de politesse diffèrent et c’est une
question de protocole. S’adresser à un avocat nécessite également de faire attention à ses paroles si vous voulez être pris au sérieux. Connaître la formule politesse avocat n’est pas difficile étant donné qu’il existe de nos jours de nombreux moyens pour se tenir informé.
Formule de politesse pour un avocat : tout ce que vous devez savoir afin de vous adresser à un avocat
Afin de vous faciliter la tâche, je vous encourage à profiter des ressources d’internet afin de trouver des modèles de lettre à utiliser pour vos courriers. Toutes les professions libérales y sont représentées et je vous invite à profiter de cette chance.
Tout ce que vous avez besoin de savoir est à votre disposition et vous pourrez vous en servir.
La correspondance entre les avocats est confidentielle
Lorsque ces professionnels se mettent en relation dans le cadre d’une affaire, il est impossible d’avoir accès à toutes les informations. C’est la loi du 7 Avril 1997 qui met en avant ce caractère discret puisque les deux parties sont liées par le même secret. Une étude d’avocats à Genève ne peut donc pas communiquer le contenu des discussions qu’elles soient effectuées par téléphone ou par la voie postale. Les hommes de loi s’exposent à des conséquences désastreuses lorsqu’ils ne respectent pas cette législation puisqu’ils vont à l’encontre du secret professionnel.
Des exceptions sont tout de même au rendez-vous
Certains ne sont pas concernés par cette législation au cours de leurs communications :
- Les correspondances qui mettent en avant un acte de procédure.
- Une correspondance qui ne fait pas référence à un écrit confidentiel.
Ce sont donc les seules situations envisageables, les autres nécessitent une véritable confidentialité. De plus, pour les conversations par voie postale, il y a toujours la mention « Officielle » qui permet de mettre en avant ce caractère discret. Dans certaines affaires assez pointilleuses, la divulgation des informations peut s’avérer très dommageable pour la crédibilité de l’avocat, du cabinet mais également pour les clients.